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Gabriel García Márquez (1927 - 2014)

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À Macondo, petit village isolé d'Amérique du Sud, l'illustre famille Buendia est condamnée à cent ans de solitude par la prophétie du gitan Melquiades… Dans un tourbillon de révolutions, de guerres civiles, de fléaux et de destructions, elle vit une épopée mythique, à la saveur inoubliable, qui traverse les trois âges de la vie : naissance, vie et décadence… Ce roman époustouflant est un chef-d'œuvre du XXe siècle.Né en 1928 en Colombie, Gabriel García Marquez a obtenu le prix Nobel de littérature en 1982. « Cent ans de solitude est un chef-d'œuvre et certainement l'un des meilleurs romans latino-américains à ce jour. »TimesTraduit de l'espagnol (Colombie) par Claude et Carmen DurandPrix Nobel de littérature


9,20

À la fin du xixe siècle, dans une petite ville des Caraïbes, un jeune télégraphiste pauvre et une ravissante écolière jurent de se marier et de vivre un amour éternel. Durant trois ans ils ne vivent que l’un pour l’autre, mais Fermina épouse Juvenal Urbino, un jeune et brillant médecin. Alors Florentino, l’amoureux trahi, se mue en séducteur impénitent et s’efforce de se faire un nom et une fortune pour mériter celle qu’il ne cessera d’aimer, en secret, cinquante années durant. L’auteur de Cent ans de solitude et de Chronique d’une mort annoncée, prix Nobel 1982, donne libre cours à son génie de conteur, à la richesse de son imagination et à l’enchantement baroque de son écriture.


6,90

Les frères Vicario ont annoncé leur intention meurtrière à tous ceux qu’ils ont rencontrés, la rumeur alertant finalement le village entier, à l’exception de Santiago Nasar. Et pourtant, à l’aube, ce matin-là, Santiago Nasar sera poignardé devant sa porte.
Pourquoi le crime n’a-t-il pu être évité ? Les uns n’ont rien fait, croyant à une simple fanfaronnade d’ivrognes ; d’autres ont tenté d’agir, mais un enchevêtrement complexe de contretemps et d’imprévus – souvent joyeusement burlesques –, et aussi l’ingénuité ou la rancœur et les sentiments contradictoires d’une population vivant en vase clos dans son isolement tropical, ont permis et même facilité la volonté aveugle du destin. Chronique d’une mort annoncée est un roman hallucinant où l’humour et l’imagination du grand écrivain colombien, prix Nobel de littérature, se débrident plus que jamais pour créer une nouvelle et géniale fiction sur les thèmes éternels de l’honneur et de la fatalité.


9,40

« La vie n'est pas ce que l'on a vécu, mais ce dont on se souvient et comment on s'en souvient », écrit Gabriel García Márquez en exergue à ce livre de mémoires d'enfance et de jeunesse.
Dans ce roman d'une vie, l'auteur fait revivre, à chaque page, les personnages et les histoires qui ont peuplé son oeuvre, du monde magique d'Aracataca à sa formation au métier de journaliste, des tribulations de sa famille à sa découverte de la littérature et aux ressorts de sa propre écriture.
De ce fourmillement d'histoires où les figures hors du commun, les rencontres, les nuits blanches tiennent la plus grande place, surgit peut-être le plus romanesque des livres de Gabriel García Márquez. On y retrouve l'émerveillement de cette Colombie cruelle et fascinante où la nature, le pouvoir, l'alcool, les femmes et les rires ont un goût de folie : celui-là même de Cent ans de solitude et de L'Amour aux temps du choléra.


8,40

Depuis trente ans, plusieurs grands romans latino-américains nous ont décrit par le menu, le monde hallucinant de la dictature à l'américaine : délation, exactions de tous ordres, assassinats, exterminations même, bestialité, cupidité, abus sexuels, protections étrangères, soif maladive de pouvoir que finalement la solitude transforme en frustration. Cette réalité tragique, nous la retrouvons tout au long de ce roman, mais sous la plume de Garcia Marquez elle prend une dimension burlesque incomparable. Le patriarche est ici un dictateur dans la grande tradition de l'Amérique Latine. C'est un vieux général qui a " entre 107 et 232 ans ". Tyran méfiant et délirant, les structures minables de son pays arriéré le vouent à des aventures cauchemardesques que l'imagination non moins délirante de Gabriel Garcia Marquez transforme en folles équipées drolatiques.

Couverture : VLF Andersen.

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