Cyrille L.

Conseillé par (Librairie La Galerne)
29 juillet 2013

Voici un remarquable premier roman, la quête existentielle d’un personnage hanté par ses origines qui le ramènent à Beyoglu, un quartier d’Istanbul. Entre nostalgie et humour, nous sommes sensibles à la justesse des évocations de la ville qui restituent l’atmosphère stambouliote mais David Boratav ne verse pas pour autant dans l’exotisme ; c’est même avec originalité qu’il nous initie à la langue turque « une langue qui n’était pas la sienne [et dans laquelle] il s'est égaré ».

Conseillé par (Librairie La Galerne)
29 juillet 2013

On n’imagine pas ce qui peut nous arriver lors de la pause déjeuner (qui, chez Nicholson Baker, dure le temps d’un roman), un lacet qui casse et le quotidien se déchaîne. Sa structure particulière en fait un récit plaisant.

Conseillé par (Librairie La Galerne)
29 juillet 2013

Fred Blake est un mafieux repenti. Après avoir été retrouvée dans sa cache en Normandie, la désormais famille « Wayne » est mise au vert dans un petit village de la Drôme. Mais pour ces quatre personnages hors du commun, il est décidément difficile de vivre normalement. Avec beaucoup d’humour, l’auteur nous emporte dans leurs tourmentes familiales grâce à des dialogues vifs et une réelle émotion.

Conseillé par (Librairie La Galerne)
29 juillet 2013

Fred Blake est un mafieux repenti. Après avoir été retrouvée dans sa cache en Normandie, la désormais famille « Wayne » est mise au vert dans un petit village de la Drôme. Mais pour ces quatre personnages hors du commun, il est décidément difficile de vivre normalement. Avec beaucoup d’humour, l’auteur nous emporte dans leurs tourmentes familiales grâce à des dialogues vifs et une réelle émotion.

Conseillé par (Librairie La Galerne)
29 juillet 2013

Les thèmes développés par Daniel Alarcón, la guerre civile et les exactions militaires, rappellent le Honduras de Castellanos Moya ou l’Argentine et ses disparus. Dans ce roman captivant, émouvant , le péruvien Alarcón s’interroge sur le sens de la guerre, son pouvoir destructeur et se penche sur les cicatrices qu’elle laisse. L’auteur, qui écrit en anglais, témoigne aussi du choc des cultures sur le continent américain.