- EAN13
- 9782359840643
- ISBN
- 978-2-35984-064-3
- Éditeur
- Esperluète éditions
- Date de publication
- 20/01/2016
- Collection
- ESPERLUETE LITT
- Nombre de pages
- 472
- Dimensions
- 21,9 x 14,5 x 4,1 cm
- Poids
- 716 g
- Langue
- français
Danger et nécessité de l'individuation
IXème colloque de Bruxelles
Emmanuel Brasseur, Edouard Collot, Guy Corneau, Daniel De Smet, Antoine Fratini, Pierre Lory, Jacques Mabit, Christine Maillard, Sonu Shamdasani
Esperluète éditions
Esperluete Litt
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Vendu par Librairie Page et Plume28.00
La particularité des Colloques de Bruxelles est de réunir, à
huis clos, des chercheurs de renommée internationale au-
tour d’un thème qui interroge notre monde.
Avec Le Livre rouge de Jung comme point de départ, cette
neuvième rencontre reprend une question sans cesse en
mouvement, étayée ici d’expériences concrètes.
Le Livre rouge, élément fondateur de son œuvre, nous
confronte à la crise que traverse Jung au début des années
1910, crise profonde dont ressort l’intuition de la nécessité
vitale de ce qu’il nommera « individuation », à savoir
l’intégration du Divin en soi, et sa reconnaissance par la
présence de ce qu’il appelle le Soi. Rien de moins que
« l’antique et intemporelle voie initiatique ». Mais c’est une
« porte étroite » qui y mène, Jung le dit, elle « ouvre un étroit
sentier, d’abord anodin et facile à embrasser du regard –
étroit et à peine marqué parce que bien peu seulement
l’ont suivi – mais qui mène au secret de la métamorphose
et du renouveau. »
huis clos, des chercheurs de renommée internationale au-
tour d’un thème qui interroge notre monde.
Avec Le Livre rouge de Jung comme point de départ, cette
neuvième rencontre reprend une question sans cesse en
mouvement, étayée ici d’expériences concrètes.
Le Livre rouge, élément fondateur de son œuvre, nous
confronte à la crise que traverse Jung au début des années
1910, crise profonde dont ressort l’intuition de la nécessité
vitale de ce qu’il nommera « individuation », à savoir
l’intégration du Divin en soi, et sa reconnaissance par la
présence de ce qu’il appelle le Soi. Rien de moins que
« l’antique et intemporelle voie initiatique ». Mais c’est une
« porte étroite » qui y mène, Jung le dit, elle « ouvre un étroit
sentier, d’abord anodin et facile à embrasser du regard –
étroit et à peine marqué parce que bien peu seulement
l’ont suivi – mais qui mène au secret de la métamorphose
et du renouveau. »
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