- EAN13
- 9782258063938
- ISBN
- 978-2-258-06393-8
- Éditeur
- Omnibus
- Date de publication
- 21/10/2004
- Collection
- Omnibus (3)
- Séries
- OEuvres / Bernard Clavel (3)
- Nombre de pages
- 992
- Dimensions
- 20 x 13,2 x 2,6 cm
- Poids
- 535 g
- Langue
- français
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C'est tout Clavel que l'on retrouve dans ce troisième volume de ses oeuvres complètes.
Il y a le Rhône toujours, ce fleuve qui le premier lui donna l'envie de raconter des histoires et qui est à la source d'un de ses plus beaux romans, Le Seigneur du fleuve.
Il y a l'intense vibration de son activité créatrice dynamisée à l'aube des années 70 par la reconnaissance qui lui a procurée le Prix Goncourt.
Il y a la générosité, la passion, l'engagement de celui qui met sa célébrité au service de la justice, de la fraternité et de la paix en soutenant le principe de l'objection de conscience, en s'élevant contre la peine de mort, en luttant pour la réhabilitation d'un garçon boucher accusé sans preuve, en partant au Bangladesh pour aider les ammamés, en se battant auprès de Terre des Hommes. Ainsi il renoue avec une lignée de la littérature française où il côtoie Voltaire, Hugo, Zola.
"Un écrivain en prise directe avec le mot humain", disait de lui Pierre Mac Orlan.
Préface de Michel Ragon
C'est tout Clavel que l'on retrouve dans ce troisième volume de ses oeuvres complètes.
Il y a le Rhône toujours, ce fleuve qui le premier lui donna l'envie de raconter des histoires et qui est à la source d'un de ses plus beaux romans, Le Seigneur du fleuve.
Il y a l'intense vibration de son activité créatrice dynamisée à l'aube des années 70 par la reconnaissance qui lui a procurée le Prix Goncourt.
Il y a la générosité, la passion, l'engagement de celui qui met sa célébrité au service de la justice, de la fraternité et de la paix en soutenant le principe de l'objection de conscience, en s'élevant contre la peine de mort, en luttant pour la réhabilitation d'un garçon boucher accusé sans preuve, en partant au Bangladesh pour aider les ammamés, en se battant auprès de Terre des Hommes. Ainsi il renoue avec une lignée de la littérature française où il côtoie Voltaire, Hugo, Zola.
"Un écrivain en prise directe avec le mot humain", disait de lui Pierre Mac Orlan.
Préface de Michel Ragon
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