L'Autre Maison, roman
EAN13
9782729115777
ISBN
978-2-7291-1577-7
Éditeur
La Différence
Date de publication
Collection
MINOS
Nombre de pages
381
Dimensions
16,5 x 11,5 x 2,8 cm
Poids
307 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais
Code dewey
850

L'Autre Maison

roman

De

La Différence

Minos

Indisponible
Le talent de Henry James prend dans ce roman, initialement conçu pour la scène, toute son ampleur.

Une jeune femme, mourante, et traumatisée dans son enfance par une marâtre, fait jurer à son mari de ne jamais se remarier tant que leur fille sera en vie. Cette enfant devient alors l’étonnant enjeu d’un chassé-croisé passionnel mené par les adultes. « Ce roman, qui commence comme un aimable récit victorien où des personnages de convention se promènent sur des pelouses bien entretenues, se termine dans une atmosphère de violence, de soufre et de feu » (Pierre Roudil, Le Figaro Magazine).

Roman cruel et magistral, initialement prévu pour la scène d’où une avalanche de dialogues tous plus ciselés les uns que les autres ! Quand la passion conduit au meurtre et à la folie.

« Passions familiales aux multiples implications psychanalytiques, refoulements voulus par les règles sociales, tout conduira au meurtre qui libérera la plupart des protagonistes du carcan de la convention et révélera leur vraie nature. [...] un ouvrage dont le climat rappelle souvent celui du Tour d’écrou par sa tranquille perversité. »

Gérard Mannoni, La Quinzaine littéraire.

« Dans L’Autre Maison, et c’est une surprise, James, qualifié par certains de romancier sophistiqué, a écrit une histoire qui a le dépouillement, la férocité et la beauté des plus grandes tragédies de l’Antiquité. »

Pierre Roudil, Le Figaro Magazine.

Né à New York en 1843, Henry James s’établit à Londres en 1876, y écrit ses plus grands chefs-d’œuvre et y meurt en 1916, un an après voir demandé et obtenu la nationalité anglaise, déçu par l’attitude des États-Unis durant le premier conflit mondial. Si Henry James est considéré comme un précurseur de la littérature du XXe siècle, c’est parce que, tout au long de sa carrière, entre l’Amérique jaillissante et l’Europe déclinante, il a constamment observé son époque, non pas telle que celle-ci se voyait, mais telle que les époques suivantes finiraient par la voir.
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