- EAN13
- 9782213626253
- ISBN
- 978-2-213-62625-3
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 14/03/2007
- Collection
- Littérature française
- Nombre de pages
- 144
- Dimensions
- 21,5 x 13,5 cm
- Poids
- 172 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 846.5
Lettres d'amour
Présentées et annotées par Évelyne et Maurice Lever
De Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Amélie Houret de La Morinaie
Fayard
Littérature française
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
La vie amoureuse de Beaumarchais est un roman
libertin comme les aime le XVIIIe siècle. Homme d'affaires,
homme d'action, homme de théâtre, il ne ressemble
pourtant ni à Valmont ni à Lovelace, comme le lui reproche
sa dernière maîtresse, Amélie Houret de La Morinaie.
Cette liaison torride restée mal connue s'éclaire aujourd'hui
grâce à la découverte de la correspondance inédite
des deux amants. En 1787, Amélie provoque une rencontre
avec celui qu'elle appellera bien vite son sauveur. Pour
Pierre, follement épris de cette femme qui excite le
désir et feint la vertu, c'est une véritable résurrection :
« Ta beauté, ta forme, ton sexe sont les intermédiaires
entre ta belle âme et la mienne. Nos corps, doux instruments
de nos jouissances, n'auraient que des plaisirs communs
sans cet amour divin qui les rend sublimes », s'écrie-t-il.
Mais Amélie, qui se prend pour une héroïne de Rousseau,
lui reprochera bientôt de n'être plus qu'une « machine
à sens », menaçant de révéler tous les secrets de leur
intimité. Mais est-elle aussi sincère qu'elle le prétend
et Pierre aussi roué qu'elle le dit ?
Maurice Lever (1935-2006), auteur de monumentales
biographies de Sade et de Beaumarchais, avait également
découvert et édité de ce dernier, les Lettres galantes à Mme de
Godeville.
Évelyne Lever, spécialiste de l’Ancien Régime et de la
Révolution, auteur de nombreux ouvrages de référence, a mis en
forme le dossier que son époux avait laissé inachevé.
libertin comme les aime le XVIIIe siècle. Homme d'affaires,
homme d'action, homme de théâtre, il ne ressemble
pourtant ni à Valmont ni à Lovelace, comme le lui reproche
sa dernière maîtresse, Amélie Houret de La Morinaie.
Cette liaison torride restée mal connue s'éclaire aujourd'hui
grâce à la découverte de la correspondance inédite
des deux amants. En 1787, Amélie provoque une rencontre
avec celui qu'elle appellera bien vite son sauveur. Pour
Pierre, follement épris de cette femme qui excite le
désir et feint la vertu, c'est une véritable résurrection :
« Ta beauté, ta forme, ton sexe sont les intermédiaires
entre ta belle âme et la mienne. Nos corps, doux instruments
de nos jouissances, n'auraient que des plaisirs communs
sans cet amour divin qui les rend sublimes », s'écrie-t-il.
Mais Amélie, qui se prend pour une héroïne de Rousseau,
lui reprochera bientôt de n'être plus qu'une « machine
à sens », menaçant de révéler tous les secrets de leur
intimité. Mais est-elle aussi sincère qu'elle le prétend
et Pierre aussi roué qu'elle le dit ?
Maurice Lever (1935-2006), auteur de monumentales
biographies de Sade et de Beaumarchais, avait également
découvert et édité de ce dernier, les Lettres galantes à Mme de
Godeville.
Évelyne Lever, spécialiste de l’Ancien Régime et de la
Révolution, auteur de nombreux ouvrages de référence, a mis en
forme le dossier que son époux avait laissé inachevé.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
Le mariage de Figaro / nouveau bacBeaumarchais, Pierre-Augustin Caron deNathan # Oeuv Integr Bac3,50
-
Mémoire contre M. Guillaume Kornman, accusant sa femme d'adultèrePierre-Augustin Caron de BeaumarchaisHachette BNF11,50