EAN13
9782872111954
ISBN
978-2-87211-195-4
Éditeur
MEDICATRIX
Date de publication
Nombre de pages
188
Dimensions
18 x 12 x 1 cm
Poids
179 g
Langue
français

Jus de Grenade fermenté - La grenade, aliment plus !

Medicatrix

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Les polyphénols particuliers de la pulpe et du jus de grenade inhibent le développement des types de cancers hormono-dépendants comme ceux du sein ou de la prostate, mais aussi des poumons, de l’intestin et de la peau. Ces polyphénols conviendraient aussi très bien à la prévention du cancer du sein et bien certainement, de la prostate. Leur bioactivité est maximale dans la forme fermentée par procédé bioactif. Une équipe internationale de chercheurs (Kim et al., 2002) a découvert que les polyphénols de jus de grenade fermentés peuvent prévenir en particulier le cancer du sein et stimuler sa thérapie. En effet, ils inhibent l’effet cancérigène et la formation d’oestrogènes. Dans le cas de cellules mammaires cancéreuses (ER+), les polyphénols fermentés de jus de grenade provoquent une inhibition de la croissance tumorale de 80% sans avoir d’effets négatifs sur les cellules normales. Les polyphénols du jus de grenade fermentés sont vérifiés deux fois plus efficaces que ceux du jus frais. Une étude de Lansky et Kawaii (2004) a démontré les propriétés remarquables des polyphénols du jus de grenade fermentés contre la leucémie?: grâce à eux, des cellules leucémiques sont redevenues saines (processus de redifférenciation cellulaire) ou ont été ramenées à la programmation d’autodestruction cellulaire (apoptose). En outre, ils empêchent la création de nouveaux vaisseaux sanguins (néoangiogenèse) ce qui rend plus difficile la propagation de la tumeur. D’autres études démontrent des effets contre les cellules cancéreuses de l’intestin et de la peau. La combinaison avec l’huile de pépins de grenade pourrait avoir des effets synergiques intéressants. Dans deux études publiées en 2007, le jus de grenade lyophilisé a réduit, chez des souris atteintes d’un cancer du poumon, la masse tumorale de 62% (après 140 jours) et de 66% (après 240 jours) par rapport au groupe contrôle. On a constaté des effets semblables sur des cellules pulmonaires cancéreuses humaines sans effets négatifs sur les cellules saines.
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