Elle est à Paris avec sa fille, à peine vieille de quatre jours, seules pour un mois. Lui vient de partir en tournée, il est pianiste de jazz. Ils savent que c’est long un mois. Elle n’aime pas le téléphone, alors ils s’écrivent. Se disent toutes ces petites choses qu’on n’a pas à se dire quand on est ensemble, se racontent au quotidien. La maternité, les concerts, les joies, le temps qu’il fait, le temps qui passe, les manques, les matins. Une partie de leur vie sans l’autre, avec le décalage de la correspondance. Mais ils taisent de plus en plus les peurs, les pleurs, les doutes, les rencontres, les entorses. L’autre partie de leur vie sans l’autre, là où se mesure la distance, ses risques et ses conséquences…
« Julie Bonnie écrit le corps et ses sensations avec une acuité et une force rares. Un beau sens du souffle, un tempo légèrement décalé. » Raphaëlle Leyris – Le Monde des Livres
« Julie Bonnie écrit le corps et ses sensations avec une acuité et une force rares. Un beau sens du souffle, un tempo légèrement décalé. » Raphaëlle Leyris – Le Monde des Livres
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