- EAN13
- 9782878587227
- Éditeur
- Viviane Hamy
- Date de publication
- 02/01/2014
- Collection
- Collection bIs
- Langue
- français
- Langue d'origine
- italien
La Ligue des dames pour le transfert de la papauté aux Amériques
Aldo Alberti
Viviane Hamy
Collection bIs
Autre version disponible
Alberti a pour lui trois atouts : Venise, l'aristocratie, le gout du saugrenu.
C'est assez pour qu'on cede au charme. Le Monde
Aldo Alberti nait en 1908 dans une ancienne famille venitienne. Des les annees
vingt, il collabore a des revues, cree et dirige Esso Rivista. En 1932, une
phrase tiree d'un texte publie dans Tribuna lui vaut les foudres
mussoliniennes : Avec toutes les femmes qu'il y a sur terre, mieux vaut ne pas
se sacrifier pour une seule. Resistant, il participe activement a la
liberation de Venise. La Ligue des dames pour le transfert de la papaute aux
Ameriques regroupe trois nouvelles qui forment une ode a la Serenissime qu'il
aime avec deraison.
Alberti a pour lui trois atouts : Venise, l'aristocratie, le gout du saugrenu.
C'est assez pour qu'on cede au charme.
La noblesse decadente, on l'apprend, n'est pas forcement dechue. Elle sait
honorer ses ancetres et les entourer de respect, mais elle sait egalement
combattre le fascisme. Sur un ton delicieusement loufoque, qui le rapproche
autant de Landolfi que d'un certain humour anglais, Aldo Alberti met en scene
une petite caste farfelue qu'aucun prejuge ne saurait soumettre et qui tente
d'extirper de ses terres le mal, qu'il prenne la forme du demon nazi ou qu'il
s'identifie au pouvoir seculier de l'Église. Rene de Ceccatty, Le Monde
C'est assez pour qu'on cede au charme. Le Monde
Aldo Alberti nait en 1908 dans une ancienne famille venitienne. Des les annees
vingt, il collabore a des revues, cree et dirige Esso Rivista. En 1932, une
phrase tiree d'un texte publie dans Tribuna lui vaut les foudres
mussoliniennes : Avec toutes les femmes qu'il y a sur terre, mieux vaut ne pas
se sacrifier pour une seule. Resistant, il participe activement a la
liberation de Venise. La Ligue des dames pour le transfert de la papaute aux
Ameriques regroupe trois nouvelles qui forment une ode a la Serenissime qu'il
aime avec deraison.
Alberti a pour lui trois atouts : Venise, l'aristocratie, le gout du saugrenu.
C'est assez pour qu'on cede au charme.
La noblesse decadente, on l'apprend, n'est pas forcement dechue. Elle sait
honorer ses ancetres et les entourer de respect, mais elle sait egalement
combattre le fascisme. Sur un ton delicieusement loufoque, qui le rapproche
autant de Landolfi que d'un certain humour anglais, Aldo Alberti met en scene
une petite caste farfelue qu'aucun prejuge ne saurait soumettre et qui tente
d'extirper de ses terres le mal, qu'il prenne la forme du demon nazi ou qu'il
s'identifie au pouvoir seculier de l'Église. Rene de Ceccatty, Le Monde
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