- EAN13
- 9782823823301
- Éditeur
- 12-21
- Date de publication
- 21/04/2016
- Collection
- Policier / thriller
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
Autre version disponible
-
Papier - 10-18 8,30
Quand elle trouve le corps sans vie de son oncle Jonathan, Georgina reste
paralysée. L'esprit vide, elle ramasse instinctivement le revolver laissé au
sol, et devient ainsi la principale suspecte. Une suspecte pourvue d'un mobile
solide : l'immense fortune dont elle devait hériter. Mais, en plus de son
argent, Jonathan possédait un autre " trésor " : sa collection d'empreintes,
parmi lesquelles celles d'un meurtrier dont il était le seul à connaître
l'identité... Entre cet homme de l'ombre et Georgina, Miss Silver va devoir
déterminer le coupable. Mais s'ils n'étaient pas les seuls à se trouver
avantagés par la mort de Jonathan ?
" Lire Patricia Wentworth, c'est se plonger douillettement dans un roman
d'énigme à l'anglaise comme on n'en écrit plus, avec ces pistes doublement
balisées, ces dialogues faussement anodins, cette atmosphère familiale
lénifiante où chacun s'observe, cet humour discret qui nimbe chacun des
personnages. "
Jean-Claude Alizet – L'Année de la fiction
Traduit de l'anglais par Corine Derblum
paralysée. L'esprit vide, elle ramasse instinctivement le revolver laissé au
sol, et devient ainsi la principale suspecte. Une suspecte pourvue d'un mobile
solide : l'immense fortune dont elle devait hériter. Mais, en plus de son
argent, Jonathan possédait un autre " trésor " : sa collection d'empreintes,
parmi lesquelles celles d'un meurtrier dont il était le seul à connaître
l'identité... Entre cet homme de l'ombre et Georgina, Miss Silver va devoir
déterminer le coupable. Mais s'ils n'étaient pas les seuls à se trouver
avantagés par la mort de Jonathan ?
" Lire Patricia Wentworth, c'est se plonger douillettement dans un roman
d'énigme à l'anglaise comme on n'en écrit plus, avec ces pistes doublement
balisées, ces dialogues faussement anodins, cette atmosphère familiale
lénifiante où chacun s'observe, cet humour discret qui nimbe chacun des
personnages. "
Jean-Claude Alizet – L'Année de la fiction
Traduit de l'anglais par Corine Derblum
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