- EAN13
- 9782746512573
- Éditeur
- Editions Le Pommier
- Date de publication
- 06/02/2017
- Collection
- Essais et documents
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
Autre version disponible
Qu’est-ce qui donne sens à notre vie ? À l’heure où les particularismes
identitaires, culturels et religieux semblent avoir définitivement pris le pas
sur les grands récits collectifs, à l’heure où la recherche du profit
précarise toujours plus les existences, peut-on même encore se poser une telle
question ?Elle nous saisit pourtant, sans cesse, comme elle a traversé la
pensée occidentale, de Nietzsche à Freud en passant par Arendt, Heidegger ou
Merleau-Ponty, mais aussi Baudelaire, Dostoïevski ou Pessoa, que l’auteur
convoque ici en lecteur atten-tif et généreux. Pour nous offrir une méditation
bouleversante sur la perception du sens de la vie, de la mort, de la lumière
et du noir… À l’horizon de cette enquête, une hypothèse vertigineuse : et si
le sens de la vie était inaccessible à la volonté ? S’il ne résultait pas de
la connaissance et de la maîtrise des choses, mais d’un abandon de soi à
l’autre ? Ne faut-il pas s’oublier pour pouvoir s’émerveiller devant la beauté
de la vie, et en saisir ainsi le sens ? Les bases d’un nouveau rapport à
l’existence sont posées, qui prend la forme d’une philosophie résolument
tournée vers l’avenir.
identitaires, culturels et religieux semblent avoir définitivement pris le pas
sur les grands récits collectifs, à l’heure où la recherche du profit
précarise toujours plus les existences, peut-on même encore se poser une telle
question ?Elle nous saisit pourtant, sans cesse, comme elle a traversé la
pensée occidentale, de Nietzsche à Freud en passant par Arendt, Heidegger ou
Merleau-Ponty, mais aussi Baudelaire, Dostoïevski ou Pessoa, que l’auteur
convoque ici en lecteur atten-tif et généreux. Pour nous offrir une méditation
bouleversante sur la perception du sens de la vie, de la mort, de la lumière
et du noir… À l’horizon de cette enquête, une hypothèse vertigineuse : et si
le sens de la vie était inaccessible à la volonté ? S’il ne résultait pas de
la connaissance et de la maîtrise des choses, mais d’un abandon de soi à
l’autre ? Ne faut-il pas s’oublier pour pouvoir s’émerveiller devant la beauté
de la vie, et en saisir ainsi le sens ? Les bases d’un nouveau rapport à
l’existence sont posées, qui prend la forme d’une philosophie résolument
tournée vers l’avenir.
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