Kidnapping : entre l'Élysée et Saint-Caradec, «Roman»
EAN13
9782402116015
Éditeur
FeniXX réédition numérique (Phare-Ouest)
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français

Kidnapping : entre l'Élysée et Saint-Caradec

«Roman»

FeniXX réédition numérique (Phare-Ouest)

Indisponible
Ce livre est une somme, le condensé d’un engagement : celui d’un jeune Breton,
parti à l’assaut de la vie, en commençant par l’Irlande, tandis que son copain
Jacques le Corrézien, s’embarque pour les States après avoir vendu l’Humanité,
Place Saint-Sulpice à Paris. Fiction ou réalité ? Bien des éditeurs ont reculé
devant la publication de l’ouvrage où défilent tous les personnages de notre
histoire contemporaine, et d’abord le Général de Gaulle, rencontré à Dublin,
avec Tante Yvonne au Shelbourne Hotel. Après un entretien surprenant, où l’on
entend le Général parler en breton avec le jeune réceptionniste, la suite ne
pouvait plus être banale… Leur vie parallèle se poursuit, parfois
entrecroisée… Alors que Jacques le Corrézien s’installe à l’Élysée, après une
longue halte à la Mairie de Paris, le « Breton », lui, est victime d’un
kidnapping à bord du train Paris-Genève. De Suisse, les terroristes, réunis en
Congrès, veulent obtenir de Jacques deux bombes atomiques pour bombarder Tel
Aviv et Dimona ! Croyant sa « dernière nuit » venue, le kidnappé enregistre
sur deux cassettes un « récit testament » qu’il adresse à Nicole Lattès et à
Irène Frain en leur demandant de le publier in extenso (Nicole est l’éditrice
de Jacques - Irène est, comme lui, originaire de la région lorientaise). Dans
un luxueux chalet qui semble être celui du chef d’orchestre que toutes les
polices recherchent, il ingurgite le fameux nectar que les membres de la Secte
du Temple Solaire avalent avant l’embarquement sans retour. Son fidèle
collaborateur, Luc, un ancien du Guide du Routard et des Guides Bleus, qui
appartient, lui aussi, à la Secte (mais peut-être est-il là pour le compte de
la DGSE ?) parvient à transmettre les cassettes à Jean-Edern Hallier. Après
les avoir écoutées, Jean-Edern appelle son ami pour le supplier de ne pas
imprimer ce livre. « Pense à ta famille qui vit encore en Palestine, et à tes
enfants. Ne finis pas comme Salman Rusdhie ! Rappelle-toi Ménage et sa bande !
Eux aussi vont se venger ». Le lendemain, Jean-Edern tombait de vélo à
Deauville… Sa libération obtenue à Genève, l’auteur se réfugie en Bretagne, où
le nouveau Préfet, Jean-Pierre Lacroix, nommé par l’Élysée, note avec soin sur
son calepin les agissements de l’ARB et de l’IRA dans la Région de Lorient,
déjà fort troublée par les ouvrières de Maryflo (qui chassent le p’tit chef)
et le lancement agité de la dernière Frégate de Taïwan, baptisée Victor-
Schoelcher par l’ancien Secrétaire d’État à la Mer, Jean-Yves Le Drian. Mais
le Préfet est muté en Corse par Jospin et Chevènement pour éteindre l’incendie
des paillotes… Le kidnappé décide d’éditer son livre : il ne veut pas être
publié à titre posthume !
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