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Papier - Grasset 19,00
L’homme qui écrit ce livre n’est pas celui dont les Français croient tout
connaître. Encore aujourd’hui, il suscite les moqueries, l’hostilité, rarement
l’indifférence. Trop européen et libéral pour une gauche frondeuse ne se
reconnaissant plus dans la social-démocratie ; trop laïque au goût des
communautaristes ; trop social pour une République en marche qui découvre –
jamais trop tard – le peuple en gilets jaunes… Mais Manuel Valls est un homme
surprenant, qui dissimule, sous une raideur dont il ne s’est jamais départi,
une profondeur et une culture inattendues.
Aujourd’hui apaisé, il se livre avec sincérité. Images de jeunesse, entre
son père, peintre, sa mère et sa sœur, dans le petit appartement du Marais.
Combats politiques : de Michel Rocard à Emmanuel Macron, engagé à sa seule
cause ; du quinquennat Hollande, qu’il observe avec lucidité, au combat sans
fin contre Dieudonné et Soral ; sans oublier des pages engagées sur les
Badinter, Eric Zemmour ou l’affaire Traoré.
L’homme nous raconte aussi ses passions : la peinture, la musique et la
scène, de Vianney débutant à Blanche Gardin risquant tout ; la littérature,
dont il est fou, de Jules Verne à Camus , et en passant par Pagnol ; le
football, bien sûr, depuis Battiston et Rocheteau.
Manuel Valls regarde, s’interroge, découvre, et sa double nationalité lui
donne sur la France un regard particulier : à la fois jacobine et girondine,
laïque et chrétienne. Intenable, politique, merveilleux, ce pays tant aimé.
connaître. Encore aujourd’hui, il suscite les moqueries, l’hostilité, rarement
l’indifférence. Trop européen et libéral pour une gauche frondeuse ne se
reconnaissant plus dans la social-démocratie ; trop laïque au goût des
communautaristes ; trop social pour une République en marche qui découvre –
jamais trop tard – le peuple en gilets jaunes… Mais Manuel Valls est un homme
surprenant, qui dissimule, sous une raideur dont il ne s’est jamais départi,
une profondeur et une culture inattendues.
Aujourd’hui apaisé, il se livre avec sincérité. Images de jeunesse, entre
son père, peintre, sa mère et sa sœur, dans le petit appartement du Marais.
Combats politiques : de Michel Rocard à Emmanuel Macron, engagé à sa seule
cause ; du quinquennat Hollande, qu’il observe avec lucidité, au combat sans
fin contre Dieudonné et Soral ; sans oublier des pages engagées sur les
Badinter, Eric Zemmour ou l’affaire Traoré.
L’homme nous raconte aussi ses passions : la peinture, la musique et la
scène, de Vianney débutant à Blanche Gardin risquant tout ; la littérature,
dont il est fou, de Jules Verne à Camus , et en passant par Pagnol ; le
football, bien sûr, depuis Battiston et Rocheteau.
Manuel Valls regarde, s’interroge, découvre, et sa double nationalité lui
donne sur la France un regard particulier : à la fois jacobine et girondine,
laïque et chrétienne. Intenable, politique, merveilleux, ce pays tant aimé.
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