Sous la peau du langage
EAN13
9782841749645
ISBN
978-2-84174-964-5
Éditeur
Kimé
Date de publication
Nombre de pages
186
Dimensions
21 x 14,5 x 0,1 cm
Poids
1 g
Langue
français

Sous la peau du langage

Kimé

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Le présent livre se propose de traverser la philosophie de la seconde moitié du xxe siècle, celle des avant-gardes, pour éclairer son intérêt, sa portée et ses limites. Cette philosophie, celle de Foucault, de Levinas, Blanchot, Barthes, Granel, Lacan, Derrida, Deguy, se déploie après « le tournant langagier » de la philosophie, pour lequel tout ce qui est dépend du langage, est commandé par lui. Marc Goldschmit montre qu’une pensée de l’écriture se dessine à travers ces avant gardes, sous la peau langage.
Le dernier chapitre du livre développe une critique de deux théories à la mode, « le réalisme spéculatif » de Meillassoux et « la plasticité du cerveau » de Malabou, qui tentent l’une et l’autre d’ensevelir les avancées des avant-gardes et d’effacer le mouvement de la philosophie qui interroge la condition de possibilité de la sensibilité, de la connaissance et de la pensée. Dans la conclusion du livre, il s’agit de faire surgir une blessure d’avance du sujet, inscrite dans son nom et son existence, et constitutive de sa subjectivité.
Le présent livre se propose de traverser la philosophie de la seconde moitié du xxe siècle, celle des avant-gardes, pour éclairer son intérêt, sa portée et ses limites. Cette philosophie, celle de Foucault, de Levinas, Blanchot, Barthes, Granel, Lacan, Derrida, Deguy, se déploie après « le tournant langagier » de la philosophie, pour lequel tout ce qui est dépend du langage, est commandé par lui. Marc Goldschmit montre qu’une pensée de l’écriture se dessine à travers ces avant gardes, sous la peau langage.
Le dernier chapitre du livre développe une critique de deux théories à la mode, « le réalisme spéculatif » de Meillassoux et « la plasticité du cerveau » de Malabou, qui tentent l’une et l’autre d’ensevelir les avancées des avant-gardes et d’effacer le mouvement de la philosophie qui interroge la condition de possibilité de la sensibilité, de la connaissance et de la pensée. Dans la conclusion du livre, il s’agit de faire surgir une blessure d’avance du sujet, inscrite dans son nom et son existence, et constitutive de sa subjectivité.
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