- EAN13
- 9782841006816
- ISBN
- 978-2-84100-681-6
- Éditeur
- OMNIA
- Date de publication
- 10/10/2019
- Nombre de pages
- 138
- Dimensions
- 17,8 x 11 x 0,8 cm
- Poids
- 82 g
- Langue
- français
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Vendu par Les Lisières à Villeneuve d'Ascq9.00
Édition en Omnia de la magnifique correspondance de Max Jacob à la fin de sa vie avec Jean-Jacques Mezure.
En 1936, Max Jacob désormais célèbre, se retire pour une seconde fois à Saint-Benoît-sur-Loire, près d'Orléans. Là, le poète vieillissant renoue avec une correspondance véritablement océanique. Parmi ses destinataires, un jeune étudiant en céramique et poète. Au cours d'un échange épistolaire intense (1941-1944) qui dépassera rapidement les seuls conseils esthétiques, Max Jacob évoquera ses rencontres (Apollinaire, Picasso, Cocteau...), son œuvre poétique, sa conversion au catholicisme et dispensera sans compter son attention bienveillante aux projets spirituels du jeune homme, aujourd'hui retiré près de Toulouse. Leur lumineuse correspondance n'est pas sans rappeler celle de Rilke avec le jeune poète Franz Xaver Kappus. Max Jacob, bientôt en proie aux persécutions contre les juifs sous l'Occupation, terrassé par le malheur qui frappe les siens, ne sera plus que souffrance : ces lettres en sont la parole recueillie. Ce poignant document montre Max Jacob tel que l'Histoire l'a gardé : tendre, généreux, ironique, artiste, spirituel, mystique.
Max Jacob (1876-1944) est l'une des personnalités marquantes de l'art du XXe siècle. Sa production ne se borne pas à la poésie (Le Cornet à dés, Le Laboratoire central) mais comporte également un œuvre graphique et musicale ainsi qu'une importante correspondance. Arrêté par la Gestapo, il meurt d'épuisement le 5 mars 1944 au camp d'internement de Drancy.
En 1936, Max Jacob désormais célèbre, se retire pour une seconde fois à Saint-Benoît-sur-Loire, près d'Orléans. Là, le poète vieillissant renoue avec une correspondance véritablement océanique. Parmi ses destinataires, un jeune étudiant en céramique et poète. Au cours d'un échange épistolaire intense (1941-1944) qui dépassera rapidement les seuls conseils esthétiques, Max Jacob évoquera ses rencontres (Apollinaire, Picasso, Cocteau...), son œuvre poétique, sa conversion au catholicisme et dispensera sans compter son attention bienveillante aux projets spirituels du jeune homme, aujourd'hui retiré près de Toulouse. Leur lumineuse correspondance n'est pas sans rappeler celle de Rilke avec le jeune poète Franz Xaver Kappus. Max Jacob, bientôt en proie aux persécutions contre les juifs sous l'Occupation, terrassé par le malheur qui frappe les siens, ne sera plus que souffrance : ces lettres en sont la parole recueillie. Ce poignant document montre Max Jacob tel que l'Histoire l'a gardé : tendre, généreux, ironique, artiste, spirituel, mystique.
Max Jacob (1876-1944) est l'une des personnalités marquantes de l'art du XXe siècle. Sa production ne se borne pas à la poésie (Le Cornet à dés, Le Laboratoire central) mais comporte également un œuvre graphique et musicale ainsi qu'une importante correspondance. Arrêté par la Gestapo, il meurt d'épuisement le 5 mars 1944 au camp d'internement de Drancy.
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