Sophie G.

Roman

Actes Sud

9,20
Conseillé par (Nouvelle Librairie Sétoise)
24 avril 2021

Superbe !

L'échange entre un magistrat et un homme soupçonné de meurtre.
Un livre fort et dense sur les valeurs humaines et politiques...

Conseillé par (Nouvelle Librairie Sétoise)
24 avril 2021

Un livre essentiel !

Ecrasé par la domination de classe, le récit de la libération d'une femme.

Conseillé par (Nouvelle Librairie Sétoise)
12 avril 2021

Une comédie humaine qui peut vous briser le cœur !

Après deux divorces, un fils, une fille et de multiple dettes, Matteo Zevi a tout quitté pour aller s’expatrier aux États-Unis où il s’est remarié. Seize ans plus tard, il revient à Rome et s’étonne de ne pas être au centre de l’attention de sa famille. Il va tout faire pour les rassembler et renouer avec ses enfants.

Dans cette comédie humaine, Alessandro Piperno présente une multitude de personnages aussi pipelettes que réalistes avec compassion et humour. Une fresque familiale drôle et légère… ou non. Y a-t-il des familles qui échappent aux drames ?

Conseillé par (Nouvelle Librairie Sétoise)
12 avril 2021

Un roadtrip saisissant dans un monde post-apocalyptique

Imaginez que la nuit disparait, que le ciel reste rouge continuellement, que personne ne comprenne ce qu’il se passe, que la peur et la folie grandissent…

Dans cette France sans nuit, un flic, Thomas, prend sous son aile une adolescente, Sophie. Ils fuient sans vraiment savoir où aller. Traversant des villages abandonnés, dormant dans des maisons vides, croisant d’autres marcheurs méfiants, ils continuent leur route à la recherche d’un lieu où la nuit existe encore.

Un livre saisissant, un narrateur à l’humour noir qui contraste avec la violence de ce roman post-apocalyptique qui rappelle le grand "La route" de Cormac McCarthy. On ne peut s’empêcher de se demander : et nous, que ferions-nous ?

Conseillé par (Nouvelle Librairie Sétoise)
12 avril 2021

Un très gros coup de cœur pour ce récit hilarant !

« Entendons-nous, je ne suis pas un fanatique de la vérité, j’admets volontiers qu’on maquille un cadavre pour le rendre présentable à la famille avant de visser le couvercle du cercueil, et je peux comprendre qu’on n’entre pas dans la description détaillée de tous les travers du défunt. Mais de là à présenter ce dernier sous un jour entièrement trompeur, il y a un fossé que je me refuse à franchir. »

Soyez avertis, le narrateur de ce monologue qui se lit d’une traite a le syndrome d’Asperger et ne fait pas de concessions ou de compromis. Dans une franchise absolue, parfois presque déconcertante, mais ô combien hilarante, il décortique chaque mensonge présent dans l’éloge funèbre de sa grand-mère et rétablit la vérité sur chacun des membres de sa famille.

D’une logique implacable, d’une précision méthodique et d’une intégrité admirable, il ne peut cependant comprendre et intégrer les normes sociales. Inapte aux relations humaines, il rêve pourtant d’une grande histoire d’amour avec Sophie Sylvestre et sa naïveté, si handicapante, en est que plus touchante.

Un texte intelligent qui fait rêver d’une société dénuée d’hypocrisie.