Freakonomics
EAN13
9782207257968
ISBN
978-2-207-25796-8
Éditeur
Denoël
Date de publication
Collection
Impacts
Nombre de pages
304
Dimensions
20,5 x 14 x 1,9 cm
Poids
305 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais
Code dewey
306.3
Indisponible

Ce livre est en stock chez 2 confrères du réseau leslibraires.fr,

Cliquez ici pour le commander
«Pense à l'économie, idiot !» Cette phrase que Bill Clinton avait affichée au-dessus de son bureau pour souligner la place prépondérante de l'économie dans la politique est restée dans les mémoires. Mais qu'y a-t-il de plus ennuyeux à première vue que l'économie, avec son jargon, ses chiffres et ses problèmes abscons ? Heureusement, Steven Levitt n'est pas un économiste comme les autres. Il nous offre ici un antidote salutaire à l'idiotie économique ambiante. Au lieu de s'interroger sur les conséquences de la croissance de la masse monétaire ou la dérive des déficits, Steven Levitt nous invite à considérer des sujets un peu moins conventionnels comme le lien entre légalisation de l'avortement et baisse de la criminalité aux États-Unis, ou les vraies motivations des agents immobiliers... Cette nouvelle approche, la «Freakonomics» ou économie saugrenue, commence à faire son chemin dans les esprits. Avec Steven Levitt, l'économie devient enfin passionnante. En éclaircissant le désordre des événements, en démontant les a priori, il parvient à transformer notre regard sur le monde moderne. Car finalement notre époque n'est pas si impénétrable et incompréhensible. Elle est peut-être même plus fascinante que nous ne le pensons.
Avec Steven Levitt, l'économie devient enfin passionnante. En éclaircissant le désordre des événements, en démontant les a priori, il parvient à transformer notre regard sur le monde moderne. Freakonomics figure depuis près d'un an en tête des listes des meilleures ventes aux États-Unis.
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Autres contributions de...

Plus d'informations sur Steven D. Levitt
Plus d'informations sur Stephen J. Dubner
Plus d'informations sur Anatole Muchnik