- EAN13
- 9782384790067
- ISBN
- 978-2-38479-006-7
- Éditeur
- SAS
- Date de publication
- 21/11/2024
- Collection
- GDV SAS FONDS
- Nombre de pages
- 246
- Dimensions
- 18 x 11,1 x 2 cm
- Poids
- 174 g
- Langue
- français
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Malko était étroitement ligoté sur le lit. Un appareil étrange était posé sur son visage : une espèce de cagoule de cuir souple, tenue par des lacets, couvrait son nez et sa bouche. Des trous minuscules permettaient à l'air de passer. Le picotement glacial et âcre de la cocaïne pénétra ses narines. On était en train de le droguer à mort.
De le tuer scientifiquement.
La CIA ne veut pas être accusée de couvrir des anciens criminels nazis. En Bolivie, Klaus Heinkel, un ancien tortionnaire nazi, a été démasqué.
Malko est chargé par l'agence de Francfort de remettre les empreintes officielles d'Heinkel aux autorités boliviennes pour les forcer à l'identifier formellement.
À La Paz, Malko devra éviter les coups qui pleuvent de partout et ce, avec un oxygèneraréfié, car la capitale bolivienne est située à 3 600 m d'altitude.
Malko était étroitement ligoté sur le lit à l'aide de sangles de toile et d'une sorte de camisole de force. Un appareil étrange était posé sur son visage : une espèce de cagoule de cuir souple, tenue par des lacets, couvrait son nez et sa bouche. Des trous minuscules permettaient à l'air de passer. Il respira profondément. Le picotement glacial et âcre de la cocaïne pénétra ses narines. On était en train de le droguer à mort.
De le tuer scientifiquement.
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La CIA ne veut pas être accusée de couvrir des anciens criminels nazis. En Bolivie, Klaus Heinkel, un ancien tortionnaire nazi, a été démasqué.
Malko est chargé par l'agence de Francfort de remettre les empreintes officielles d'Heinkel aux autorités boliviennes pour les forcer à l'identifier formellement.
À La Paz, Malko devra éviter les coups qui pleuvent de partout et ce, avec un oxygèneraréfié, car la capitale bolivienne est située à 3 600 m d'altitude.
Malko était étroitement ligoté sur le lit à l'aide de sangles de toile et d'une sorte de camisole de force. Un appareil étrange était posé sur son visage : une espèce de cagoule de cuir souple, tenue par des lacets, couvrait son nez et sa bouche. Des trous minuscules permettaient à l'air de passer. Il respira profondément. Le picotement glacial et âcre de la cocaïne pénétra ses narines. On était en train de le droguer à mort.
De le tuer scientifiquement.
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