Dans la maison des morts
Prisonnier de Poutine
De Mikhaïl Khodorkovski, Natalia Gevorkyan
Traduit par Luba Jurgenson
Denoël
Impacts
Autre version disponible
Le 25 octobre 2003, Mikhail Khodorkovsky, alors l’un des hommes les plus riches et les plus puissants de Russie, a été arrêté sur ordre de Vladimir Poutine soucieux de se débarrasser d’un rival politique. Accusé des méfaits les plus absurdes, M. Khodorkovsky a été condamné à quatorze ans d’emprisonnement dans une colonie pénitentiaire d’Extrême-Orient.
Révélatrice du vrai visage du pouvoir poutinien, l’affaire Khodorkovsky, à l’image de l’affaire Dreyfus en son temps, touche à des valeurs essentielles : l’état de droit, la démocratie, les droits de l’homme…
Document inédit, Dans la maison des morts a été rédigé par M. Khodorkovsky du fond de sa cellule. Sorti clandestinement, chapitre après chapitre, ce livre raconte le quotidien du détenu le plus surveillé de Russie dans un goulag dont seule l’appellation a changé.
S’y dévoile un homme brillant et courageux qui analyse avec clairvoyance le sens de ses épreuves et livre une condamnation implacable du système poutinien, lequel ne fait qu’habiller d’oripeaux démocratiques les méthodes héritées du KGB.
Mis en perspective par la journaliste Natalia Gevorkyan, qui l’a recueilli, le témoignage de Mikhail Khodorkovsky devrait faire réfléchir tous ceux qui, au nom d’une realpolitik intéressée, sont prêts à toutes les compromissions avec Moscou. Une question cruciale à quelques mois de la prochaine élection présidentielle en Russie, prévue pour mars 2012.
Révélatrice du vrai visage du pouvoir poutinien, l’affaire Khodorkovsky, à l’image de l’affaire Dreyfus en son temps, touche à des valeurs essentielles : l’état de droit, la démocratie, les droits de l’homme…
Document inédit, Dans la maison des morts a été rédigé par M. Khodorkovsky du fond de sa cellule. Sorti clandestinement, chapitre après chapitre, ce livre raconte le quotidien du détenu le plus surveillé de Russie dans un goulag dont seule l’appellation a changé.
S’y dévoile un homme brillant et courageux qui analyse avec clairvoyance le sens de ses épreuves et livre une condamnation implacable du système poutinien, lequel ne fait qu’habiller d’oripeaux démocratiques les méthodes héritées du KGB.
Mis en perspective par la journaliste Natalia Gevorkyan, qui l’a recueilli, le témoignage de Mikhail Khodorkovsky devrait faire réfléchir tous ceux qui, au nom d’une realpolitik intéressée, sont prêts à toutes les compromissions avec Moscou. Une question cruciale à quelques mois de la prochaine élection présidentielle en Russie, prévue pour mars 2012.
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