Lettres philosophiques - Derniers écrits sur Dieu, Tout en Dieu - Commentaire sur Malebranche - Dieu. Réponse au Système de la nature - Lettres de Memmius à Cicéron - Il faut prendre un parti, ou le Principe d’action
EAN13
9782080712240
ISBN
978-2-08-071224-0
Éditeur
Flammarion
Date de publication
Collection
GARNIER FLAMMARION (1224)
Nombre de pages
486
Dimensions
17,8 x 10,8 x 2,2 cm
Poids
330 g
Langue
français
Langue d'origine
français
Code dewey
848.507

Lettres philosophiques - Derniers écrits sur Dieu

Tout en Dieu - Commentaire sur Malebranche - Dieu. Réponse au Système de la nature - Lettres de Memmius à Cicéron - Il faut prendre un parti, ou le Principe d’action

De

Flammarion

Garnier Flammarion

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Face à la production de Diderot, Montesquieu ou encore Rousseau, l'oeuvre philosophique de Voltaire ne semble pas peser lourd. On connaît Voltaire conteur, poète, dramaturge, historien, politique... qu'en est-il de Voltaire philosophe ? Les textes réunis dans ce volume, depuis son premier ouvrage polémique - les célèbres Lettres philosophiques - jusqu'à ses derniers écrits sur Dieu, moins connus, invitent à découvrir la singularité de la pensée voltairienne. Écrites en Angleterre, les Lettres philosophiques (1734) sont «la première bombe lancée contre l'Ancien Régime» (Gustave Lanson) : avant d'éclater au visage de la royauté de droit divin, elles condamnèrent leur auteur à l'exil. Remettant en cause les certitudes dont étaient pétris les Français d'alors, Voltaire y fustige les autorités en place : nourri des théories de Newton et de Locke, il bat en brèche le cartésianisme ; attaquant Pascal, il tire à boulets rouges sur l'institution religieuse. Cette hostilité à l'esprit de système ne l'a plus jamais quitté. Farouchement opposé aux articles de la foi, il le fut aussi à l'athéisme, ainsi qu'en témoignent les brochures rédigées vers la fin de sa vie, de Tout en Dieu (1769) à Il faut prendre un parti (1775) en passant par Dieu (1770) et les Lettres de Memmius à Cicéron (1771), dans lesquelles le déisme voltairien se précise en une étonnante synthèse des idées de Leibniz, Malebranche et Spinoza.
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