Sans Silke
EAN13
9782889276455
ISBN
978-2-88927-645-5
Éditeur
Zoé
Date de publication
Collection
Zoé
Nombre de pages
160
Dimensions
21 x 14,1 x 1 cm
Poids
224 g
Langue
français

Sans Silke

Zoé

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Silke se souvient du temps passé à La Favorite alors qu’elle avait dix-neuf ans et s’occupait chaque fin d’après-midi de la petite Ludivine. Embrasser les arbres, apprendre à voler comme les oiseaux, dormir à la belle étoile, neuf mois durant, toutes deux auront vécu côte à côte dans un monde onirique, en marge des parents de la fillette absorbés par leur relation exclusive.
Avec ce nouveau roman, Michel Layaz poursuit son exploration des failles familiales. Il attrape avec précision les gestes d’une enfant qui s’arcboute de joie après un coup réussi au billard, qui se caresse les épaules de satisfaction lors d’un moment d’intense concentration et dont les mots peuvent rappeler ceux des meilleurs poètes : « J’ai envie de larmes ».

biographie

Michel Layaz est né à Fribourg en 1963. En 1992, il effectue un voyage de six mois autour du bassin méditerranéen d’où il rentre avec un premier roman, Quartier Terre, publié en 1993 aux éditions de l’Âge d’Homme. En 1994, il séjourne trois mois à Malaucène, près de Carpentras. L’année suivante, il publie Le Café du professeur. De l’automne 1996 à l’été 1997, il est membre de l’Institut Suisse de Rome où il écrit Ci-gisent qui est publié en 1998. Ce roman obtient le prix Edouard Rod. Au début de l’année 2001, il publie aux éditions Zoé Les Légataires. Les Larmes de ma mère publié chez Zoé en janvier 2003 obtient le Prix Dentan ainsi que le Prix des auditeurs de la Radio Suisse Romande et marque une reconnaissance de Michel Layaz tant en France qu’en Suisse. Début 2004, deux nouveaux titres voient le jour : La Joyeuse complainte de l’idiot et Le Nom des pères, un recueil de trois nouvelles.

Au salon du livre de Paris 2006 où la Francophonie est à l’honneur, Michel Layaz est choisi (avec Noëlle Revaz et Agota Kristof) pour « représenter » la Suisse.

En septembre 2006, parution d’un nouveau roman : Il est bon que personne ne nous voie. Simultanément, Les Larmes de ma mère est réédité en poche chez Points. Début 2009, sortie de Cher Boniface, toujours aux éditions Zoé ; ce livre remporte le prix des collégiens de Sion. En 2011, parution de Deux sœurs, chez Zoé et reprise en poche chez Point de La joyeuse complainte de l’idiot. En 2013 publication de Le Tapis de course. En 2016 paraît Louis Soutter, probablement, qui remporte l’année suivante le prix Bibliomedia, le prix Régis de Courten et un prix de littérature suisse.

Plusieurs livres de Michel Layaz ont été traduits en italien par Tommaso Gurrieri chez Clichy Edizioni à Florence (La Dimora, Due Sorelle) et en allemand par Yla von Dach chez Brotsuppe Verlag (Die fröhliche Moritat von der Bleibe, Auf dem Laufband). D’autres traductions sont prévues, comme Les Larmes de ma mère en anglais (Seagull).
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