Enquêtes au muséum, Au pays des oiseaux qui ne volent pas
EAN13
9782366721188
ISBN
978-2-36672-118-8
Éditeur
Plume de Carotte
Date de publication
Collection
ENQUETES MUSEU
Séries
Enquêtes au muséum
Nombre de pages
80
Dimensions
17,9 x 11 x 0,8 cm
Poids
74 g
Langue
français

Au pays des oiseaux qui ne volent pas

De

Dessins de

Plume de Carotte

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Cette collection de petits romans illustrés portant sur les musées des sciences et les lieux de savoirs naturalistes est destinés à de jeunes lecteurs (8/11 ans). Elle vise à leur donner le goût de la lecture à partir d’aventures qui leur présentent le monde des musées vu par les coulisses, et mettant en scène l’importance des missions et des collections de ces établissements.

Au pays des oiseaux qui ne volent pas s’intéresse aux oiseaux de Nouvelle-Zélande et des îles du Pacifique, notamment les espèces éteintes ou menacées d’extinction. Le récit fait référence à des questions de biodiversité particulières aux milieux insulaires (des îles) et évoque l’évolution de certaines espèces endémiques (ne vivant qu’à ces endroits) à travers le cas des oiseaux non volants, parmi lesquels les moas désormais éteints, mais également les kiwis et les kakapos, en voie d’extinction.
 
Comme beaucoup d’îles du Pacifique, la Nouvelle-Zélande compte un très grand nombre d’oiseaux, parmi lesquels beaucoup sont endémiques. Pendant très longtemps, il n’y avait eu aucun mammifère terrestre en Nouvelle-Zélande, ce qui explique la forte proportion d’oiseaux non volants, peu menacés par les prédateurs avant l’arrivée de l’homme.

C’est l’arrivée des hommes provenant des îles Pacifiques environnantes, notamment aux alentours du XIVe siècle, qui a provoqué l’extinction de certaines espèces d’oiseaux, soit parce que ces dernières ont été chassées, soit parce que les Européens ont introduit sur le territoire quelques siècles plus tard des prédateurs (chiens, chats, cochons, rats, furets, etc.). Les espèces non volantes ont été les premières victimes de ces prédateurs, qui mangeaient notamment leurs œufs, et le restent encore aujourd’hui. La création récente de réserves ou d’îlots, telle l’île de Kapiti, sans aucun mammifère, permet de nos jours la sauvegarde de certaines espèces.
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