- EAN13
- 9782402069144
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (DLM)
- Date de publication
- 1997
- Collection
- Le Guide du téléfan
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
«Ma sorcière bien-aimée» : L'imaginaire au pouvoir
Christian Cazalot, Éric Cazalot
FeniXX réédition numérique (DLM)
Le Guide du téléfan
Il était une fois, au début des années soixante, un couple de la middle class
américaine. Elle, belle, blonde et facétieuse. Lui, grand, travailleur et
râleur. Jusque-là, rien de bien original. Il y a sa mère à elle, sa mère à
lui, une vieille tante par ci, une voisine par là. Quoi de surprenant ? Pas
grand-chose, si ce n’est que la jeune femme est une sorcière… Pour Jean Pierre
Stevens, les ennuis commencent et les catastrophes seront quotidiennes. Car «
Ma sorcière bien aimée » n’est pas un simple conte de fées, mais bien plutôt
une sorte d’allégorie des petits et grands travers de la société américaine
d’hier et d’aujourd’hui. En effet, comment mieux faire ressortir l’ostracisme,
l’intolérance et le racisme que de confronter une petite famille en apparence
ordinaire à l’obligation de la dissimulation et à l’incompréhension de son
entourage. Mais époque bénie des sixties cette stigmatisation se fait par le
rire et les préoccupations des créateurs de « Ma sorcière bien aimée »
s’expriment avant tout par la satire.
américaine. Elle, belle, blonde et facétieuse. Lui, grand, travailleur et
râleur. Jusque-là, rien de bien original. Il y a sa mère à elle, sa mère à
lui, une vieille tante par ci, une voisine par là. Quoi de surprenant ? Pas
grand-chose, si ce n’est que la jeune femme est une sorcière… Pour Jean Pierre
Stevens, les ennuis commencent et les catastrophes seront quotidiennes. Car «
Ma sorcière bien aimée » n’est pas un simple conte de fées, mais bien plutôt
une sorte d’allégorie des petits et grands travers de la société américaine
d’hier et d’aujourd’hui. En effet, comment mieux faire ressortir l’ostracisme,
l’intolérance et le racisme que de confronter une petite famille en apparence
ordinaire à l’obligation de la dissimulation et à l’incompréhension de son
entourage. Mais époque bénie des sixties cette stigmatisation se fait par le
rire et les préoccupations des créateurs de « Ma sorcière bien aimée »
s’expriment avant tout par la satire.
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