Paul Auster nous entraîne avec ce nouveau roman dans les « folies » de l’Amérique des années 2000, cette Amérique qui lui fait peur et qu’il dénonce : George Bush, les mouvements religieux, la loi de l’argent… et un matin de septembre. Si le dénouement est inévitable, l’objet n’est cependant pas les attentats du 11 septembre. Nous sommes aspirés dans une spirale de personnages loufoques et attachants… C’est New York, encore une fois un personnage à part entière. A quand le prochain roman de Paul Auster !

Paul Auster nous entraîne avec ce nouveau roman dans les « folies » de l’Amérique des années 2000, cette Amérique qui lui fait peur et qu’il dénonce : George Bush, les mouvements religieux, la loi de l’argent… et un matin de septembre. Si le dénouement est inévitable, l’objet n’est cependant pas les attentats du 11 septembre. Nous sommes aspirés dans une spirale de personnages loufoques et attachants… C’est New York, encore une fois un personnage à part entière. A quand le prochain roman de Paul Auster !

Le truculent Pomponius, à Nazareth à la recherche d’une eau qui pourrait soigner ses petits problèmes gastriques, se voit chargé de résoudre le meurtre dont est accusé le charpentier du village en compagnie du fils de ce dernier, un dénommé Jésus, un garçon plein de candeur et convaincu de l’innocence de son père. Mélange de roman historique, roman policier et parodie, voici une histoire insolite et terriblement drôle.

L’histoire incroyable, très surprenante d’un pianiste qui veut tout… sauf se produire en concert ! Se sont ses frasques que l’auteur nous donne à suivre, en compagnie de son homme de compagnie, qui le pousse littéralement sur scène. Un roman curieux, mais subtil et bien écrit, avec deux parties distinctes qui pour autant ne déroutent pas le lecteur.

Le 23 février 1981, une tentative de coup d’Etat ébranle la jeune démocratie espagnole. Trois députés décident de s’opposer en restant à leur place au Congreso, défiant ainsi le colonel Tejero et ses gardes civils. Cet événement retransmis à la télévision a tenu en haleine les espagnols et Cercas a voulu s’en inspirer pour écrire un roman. Mais c’est un essai qu’il publie, très simple, précis et richement documenté, un ouvrage en hommage à ceux qui n’ont pas voulu céder et qui passionnera tous les lecteurs spécialistes ou non de l’histoire de l’Espagne.