Judas

Amos Oz

Gallimard

  • Conseillé par (Librairie Comme Un Roman)
    7 septembre 2016

    Jérusalem, années 60. Un étudiant se retrouve à vivre avec un vieil érudit fantasque et une femme- fascinante-, dont le père fut un leader sioniste accusé de traîtrise.
    SUPERBE sur l'Histoire d’Israël, les confrontations judaïsme/christianisme, la traîtrise, le sionisme, ...


  • Conseillé par (Librairie La Galerne)
    1 septembre 2016

    Formidable et totalement subversif

    A travers le regard de Schmuel (étudiant paumé et en rupture amoureuse) embauché pour tenir compagnie et faire la conversation à un vieil homme érudit et reclus ; Amos Oz fait le parallèle entre Judas le traître (ou celui qui aime passionnément et révèle) et la création de l’état d’Israël. "Judas" interpelle, questionne. C’est un grand roman formidable et totalement subversif !


  • Conseillé par (La librairie des Halles)
    4 août 2016

    Au delà du roman, une réflexion passionnante sur l'Histoire d'Eretz Israël et le christianisme vu par le peuple juif.
    A ne pas manquer !


  • Conseillé par
    25 septembre 2016

    L'évangile selon Judas

    Il me semble que l’on ressort toujours plus intelligent d’un livre d’Amos Oz, mais que ce savoir n’a rien « qui pose », car l’auteur est avant tout un grand conteur. La preuve avec cet début irrésistible : « L’histoire se déroule en hiver, entre fin 1959 et début 1960. On y parle d’une erreur, de désir, d’un amour malheureux et d’une question théologique inexpliquée ».

    Shmuel Asch, étudiant en théologie à l’université de Jérusalem, traverse une mauvaise passe : sa petite amie l’a quitté, fatiguée de ses atermoiements et de son hypersensibilité, pour se marier avec un hydrologue. Dans le même temps, son père, qui a fait faillite, ne peut plus financer ses études. Désœuvré, l’esprit embrumé par le dépit amoureux, Shmuel abandonne sa maîtrise sur « Jésus dans la tradition juive » et, puisqu’il faut bien vivre, répond à une étrange petite annonce : « Cherche homme de compagnie ».

    Lire la suite de la critique sur le site o n l a l u