Et toujours les forêts / roman

Sandrine Collette

JC Lattès

  • Conseillé par (Librairie La Mandragore)
    20 mai 2020

    En lisant le nouveau livre de Sandrine Collette, vous traverserez page après page des forêts d’arbres calcinés, marcherez sous un ciel chargé de cendres, brûlé par le ruissellement des pluies acides pour finir dans une sombre cabane à attendre des années l’apparition d’un brin d’herbe ou d’un rayon de soleil. Un grand voyage pour espérer trouver un peu de lumière aux confins de la catastrophe…Tout à fait d’actualité… avec le prix de la Closerie des Lilas !
    Laurent


  • Conseillé par (Nouvelle Librairie Sétoise)
    8 mai 2020

    Envoûtant

    Après une catastrophe nucléaire un jeune homme part à travers les fôrets. Un gros coup de cœur pour un magnifique roman. Lu par Agnès.


  • Conseillé par (Librairie Le Cadran Lunaire)
    8 mai 2020

    Le monde d'après

    Dans Et toujours les Forêts résonnent les contes terrifiants de notre enfance, Sandrine Collette imagine l’inimaginable avec au passage un clin d’œil à La Route de Cormac McCarthy et signe un de ses romans les plus intenses.
    Une lecture dont on ne sort pas indemne,
    Coup de cœur !


  • Conseillé par (Librairie Page et Plume)
    9 février 2020

    Un grand roman post-apocalyptique

    Après de nombreux succès du côté du roman noir, Sandrine Collette nous offre un roman post-apocalyptique saisissant, lucide, passionnant, dans la veine de "La Route" de Cormac McCarthy. Le genre de livre impossible à lâcher, tant on a envie de savoir ce qu'il s'est passé, ce que deviendra Corentin, et qui nous renvoie à nos propres questions: "que ferions-nous en pareilles circonstances?" Car ce qui était de la littérature de l'imaginaire il y a quelques années,entre de plus en plus dans le domaine du possible, du probable et nous amène à repenser notre rapport au monde. Époustouflant!


  • Conseillé par (Librairie La Femme Renard)
    22 janvier 2020

    Dans un paysage totalement dévasté suite à la catastrophe, Corentin erre, hagard.
    Il est un des rares survivants. Survivre, c'est tout ce qui compte. Survivre et retrouver Augustine, son arrière-grand-mère qui l'a élevé. Retourner aux forêts voir s'il y a encore de la vie.

    Frédéric L.


  • Conseillé par
    16 septembre 2020

    Corentin !
    Quel personnage !
    Quel destin !
    Décidément, elle est forte Sandrine Collette.
    Mais qu’est-ce qu’elle est sombre. Que ses histoires sont noires.
    Celle-ci particulièrement.
    Heureusement, le texte est très aéré.
    Courts chapitres, gros caractères, paragraphes espacés.
    Je pense que si ça avait été écrit serré, sans espaces d’aération ; j’aurais été trop oppressée et incapable d’aller au bout.
    Dès le début, la vie de Corentin s’annonce mal.
    Mère sans tendresse, sans scrupules.
    Une accalmie pour lui lorsque après des années d’errance, elle l’abandonne chez la vieille Augustine, au cœur des forêts.
    Et puis les études, les amis, il semble sorti d’affaire jusqu’à ce que ………
    la désolation, l’enfer, l’inconcevable, le chaos.
    J’ai été complètement captivée par cette histoire désespérante
    La maîtrise de l’écriture y est pour beaucoup.
    J’hésite à chaque fois à ouvrir un livre de Sandrine Collette sachant que ce qui nous attend ne sera jamais rose, mais jusqu’à présent, jamais je ne l’ai regretté.
    Corentin restera dans ma mémoire.


  • Conseillé par
    30 janvier 2020

    Dystopie

    Corentin n’a pas eu de chance au début de sa vie : abandonné plusieurs fois par sa mère qui n’en veut pas, il finit par grandir chez sa grand-mère aux Forêts.

    Il part ensuite faire ses études à la ville, jusqu’au jour où un cataclysme s’abat sur le monde.

    Heureusement caché avec ses amis dans les sous-sols de la ville, il remonte après plusieurs jours à l’air libre et découvre la dévastation. Il décide de se rendre aux Forêts pour tenter de survivre.

    Encore une fois, Sandrine Collette nous plonge dans un univers à part le temps de notre lecture.

    Un style haché mais pas trop qui convient parfaitement à ce type de récit.

    Un décor gris, forcément, des pluies de cendres qui brulent, une nature morte. Quelques touches de couleur, parfois.

    Un clin d’oeil à Cormac McCarthy et son roman La route.

    Un roman tout en nuances de gris.

    L’image que je retiendrai :

    Celle des rares instants de couleur.

    https://alexmotamots.fr/et-toujours-les-forets-sandrine-collette/