Le tour du monde du roi Zibeline

Jean-Christophe Rufin

Gallimard

  • Conseillé par
    27 février 2018

    Aventures et mésaventures

    Péripéties familiales, bonne et mauvaise fortunes, hasards et complications ... la trame est "efficace", l'Histoire et l'histoire sont en marche ! Le roman est dynamique, tout sauf assommant alors ... pourquoi s'en priver ! Sans être éreintant, vous allez voir du pays ... absorbé que vous serez par la facilité de l'auteur à vous faire entrer dans l'intrigue d'un personnage téméraire mais lettré et d'une femme éprise. Quelle vie au siècle des Lumières entre complots et manigances ! Pour qui aime voyager et les romans historiques...


  • Conseillé par
    5 décembre 2017

    Aventures et mésaventures

    Péripéties familiales, bonne et mauvaise fortunes, hasards et complications ... la trame est "efficace", l'Histoire et l'histoire sont en marche !
    Le roman est dynamique, tout sauf assommant alors ... pourquoi s'en priver !
    Sans être éreintant, vous allez voir du pays ... absorbé que vous serez par la facilité de l'auteur à vous faire entrer dans l'intrigue d'un personnage téméraire mais lettré et d'une femme éprise.
    Quelle vie au siècle des Lumières entre complots et manigances !
    Pour qui aime voyager et les romans historiques...


  • Conseillé par
    19 juin 2017

    18e siècle

    Je gardai un souvenir ému de Rouge Brésil et de Katiba de cet auteur. C’est donc avec joie que je commençais ma lecture.
    Si je n’ai pas détesté, je n’ai pas non plus été enchantée par ce dernier roman de l’auteur.
    Commençons par ce que j’ai apprécié : c’est bien écrit, facile à lire, la prose est fluide. On voyage depuis la Pologne jusqu’à Madagascar en passant par le Kamchatka, Paris et les Etats-Unis. Les deux narrateurs font en sorte que le récit rebondisse et ne lasse pas. Il leur en arrive, des aventures !
    Alors certes, le récit est prenant, mais je n’ai pas senti une vraie ambiance dans ce roman qui m’aurait donné envie d’y retourner ; et surtout je m’attendais à plus de profondeur dans le récit. Les références philosophiques aux philosophes des Lumières m’ont paru bien plates.
    Oui, le romancier m’a fait découvrir le personnage haut en couleur de ce roi de Madagascar. Pourtant, cela ne suffira pas à ce que son roman me reste en mémoire longtemps.

    L’image que je retiendrai :

    Celle de la zibeline que le héros chasse au Kamchatka et qui sera son nom de roi.

    Quelques citations :

    « Ce qu’on ne peut éviter, il faut le vouloir. » (p.120)

    « Elle m’expliqua que, d’après ses observations, les hommes avaient pour aimer besoin de conquérir l’objet désiré. Si l’amour des femmes, selon elle, pouvait se déployer dans l’abstrait, celui des hommes était inséparable de la possession. » (p.246)